Le numérique et l’environnement
Cet article fait partie de la série concernant les crises environnementales, il aborde la formation d’ozone photochimique au niveau de la troposphère.
L’ozone troposphérique, c’est-à-dire à moins de 10 km d’altitude est néfaste pour la santé humaine et pour les écosystèmes.
Voici quelques conséquences de l’ozone sur la santé humaine :
Au niveau de la troposphère l’ozone perturbe la photosynthèse des plantes. Pour rappel, la couche d’ozone (à plusieurs dizaines de kilomètres d’altitude) protège des rayonnements ultra-violets qui nuisent également à la photosynthèse. En fonction de l’altitude, l’ozone préserve ou nuit donc à la flore.
Au-delà de la photosynthèse, les plantes peuvent également absorber l’ozone, ce qui provoque des dégâts visibles sur leurs feuilles et nuit à leur croissance.
L’essentiel de la pollution par l’ozone résulte de réactions chimiques complexes qui ne se produisent que par forte chaleur.
Les activités humaines émettent des gaz précurseurs dont :
D’après Citepa , en France, les émissions de COVNM ont largement réduit en passant de plus de 2,5 millions de tonnes COVNM en 1991 à moins de 0,6 million de tonnes COVNM en 2018.
On a donc divisé nos émissions par presque 5 en moins de 30 ans.
Plus d'information et source dans l'article : Les crises environnementales : la formation d'ozone photochimique
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