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Les crises environnementales : la formation d'ozone photochimique

4 min • 31 juli 2024

Cet article fait partie de la série concernant les crises environnementales, il aborde la formation d’ozone photochimique au niveau de la troposphère.

L’ozone troposphérique, c’est-à-dire à moins de 10 km d’altitude est néfaste pour la santé humaine et pour les écosystèmes.

Voici quelques conséquences de l’ozone sur la santé humaine :

  • irritations des yeux ou des voies respiratoires
  • baisse des performances physiques
  • œdèmes pulmonaires dans les cas les plus graves
  • hausse du risque de maladies respiratoires

Au niveau de la troposphère l’ozone perturbe la photosynthèse des plantes. Pour rappel, la couche d’ozone (à plusieurs dizaines de kilomètres d’altitude) protège des rayonnements ultra-violets qui nuisent également à la photosynthèse. En fonction de l’altitude, l’ozone préserve ou nuit donc à la flore.

Au-delà de la photosynthèse, les plantes peuvent également absorber l’ozone, ce qui provoque des dégâts visibles sur leurs feuilles et nuit à leur croissance.

L’essentiel de la pollution par l’ozone résulte de réactions chimiques complexes qui ne se produisent que par forte chaleur.

Les activités humaines émettent des gaz précurseurs dont :

  • les oxydes d’azote (NO et NO2) issus de combustions
  • les composés organiques volatils produits par l’industrie (peintures, colles, enduits vernis…)

D’après Citepa , en France, les émissions de COVNM ont largement réduit en passant de plus de 2,5 millions de tonnes COVNM en 1991 à moins de 0,6 million de tonnes COVNM en 2018.

On a donc divisé nos émissions par presque 5 en moins de 30 ans.


Plus d'information et source dans l'article : Les crises environnementales : la formation d'ozone photochimique




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