23 mars 2011, des navires de guerre et des avions de l’OTAN
patrouillent les approches des eaux territoriales de la Libye. A ce moment-là l’opération Unified Protector est lancée et vise : à empêcher le transfert d’armes vers la Libye ; mais aussi à empêcher tout aéronef de bombarder des cibles civiles via la conduite de frappes aériennes et navales. 7 mois plus tard, le 31 octobre, l’opération prend fin après avoir atteint tous les objectifs.
Parmi les unités déployées, des bâtiments de différentes flottes dont la frégate de défense aérienne Forbin et la frégate antiaérienne Jean Bart de la Marine française.
Alors, quels sont les avantages de l’interopérabilité et quelles sont les spécificités des opérations navales otaniennes ? Quelles en sont aussi les plafonds de verre ? Et surtout, est-ce que c’est une stratégie nécessairement gagnante pour les marines dans l’OTAN ?
Pour en parler, nous recevons Philippe Gros, Chercheur spécialisé en géostratégie et questions militaires et opérationnelles pour la Fondation pour la Recherche Stratégique
Bonne écoute !
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