Me Gaspard Petit, avocat chez Lavery, explique que la responsabilité des erreurs commises par ces robots conversationnels revient souvent à l'entreprise qui les a déployés, selon le droit québécois. On parle des implications légales liées à l'usage des robots conversationnels, y compris la désinformation et la manipulation, soulignant la nécessité d'une régulation plus stricte.